samedi 26 avril 2014

Welcome to the Winterless North

Vendredi 28 mars 2014

Aujourd'hui, les parents de ma famille d'accueil ne travaillent pas, ce qui signifie que j'ai ma journée de libre, et un week-end de 3 jours!
L'occasion parfaite pour une excursion dans le Nord du pays, en commençant par la Bay of Islands.


Je commence donc mon vendredi matin en me rendant à Paihia, dans la Bay Of Islands, célèbre pour les plus de 150 îles qui s'y trouvent, ainsi que pour sa faune marine particulièrement développée. J'arrive vers 10h30-11h, il fait beau, le soleil brille : en bref, c'est le temps parfait pour une croisière dans la baie pour aller voir des dauphins!
En montant sur le bateau, le capitaine nous explique que si on trouve des dauphins, on pourra éventuellement nager avec eux, selon la composition du groupe. En effet, pour la protection de la faune, le gouvernement a instauré des règles plutôt strictes pour toutes les croisières touristiques dans la baie : chaque bateau n'est autorisé qu'à rester 50 minutes avec le groupe de dauphins, 30 minutes en cas de présence de juvéniles. De même, dans ce cas, personne n'est autorisé à se baigner. 
Après une vingtaine de minutes à naviguer, nous tombons sur un banc d'une cinquantaine de dauphins, qui se mettent à tourner, sauter et nager autour du bateau. Certains ont même des noms, car le capitaine nous explique que beaucoup d'entre eux restent dans la baie pour la majeure partie de leur vie et croisent souvent les mêmes bateaux. Malheureusement, ce groupe là contient deux dauphins de moins d'un an, donc pas de nage avec les dauphins pour aujourd'hui! Mais d'en voir autant nager partout autour de nous, ça reste impressionnant.



Après la demie-heure réglementaire, nous quittons le groupe de dauphins pour continuer le voyage au large des îles. Posée à l'avant du bateau, sous le soleil, je profite à fond du reste du tour. A un moment, le capitaine nous propose de nous arrêter sur une des îles un peu plus vallonnée que les autres, et de grimper en haut de la colline pour avoir vue sur l'ensemble de la baie.






Ça déchire, hein?

Samedi 29 mars 2014

Réveil à 6h ce matin, une longue journée s'annonce. Aujourd'hui, je rejoins un groupe de touriste (dont les 3/4 sont chinois), pour aller dans le grand Nord du pays, le Cape Reinga. 
Le Cape Reinga est célèbre pour plusieurs raisons. Premièrement, il s'agit du point le plus au Nord de toute la Nouvelle-Zélande. Ensuite, c'est là que se rencontrent la mer de Tasmanie, à l'ouest, et l'océan Pacifique, à l'est. Enfin, il s'agit d'un lieu important dans la culture maorie, puisque selon leur mythologie, c'est par ici que passe le "Te Ara Wairua", ou "chemin des esprits", chemin qu'empruntent les âmes des morts avant de se rendre dans Hawaiki, l'au-delà. 

Par conséquent, au vu du caractère sacré du site, les autorités Néo-Zélandaises ont décidé de placer le chemin d'accès et le parking à quelques kilomètres du site, et de planter des milliers d'arbres pour tout cacher. 


En arrivant sur le parking après environ 4h de route (parce que oui, la Nouvelle-Zélande c'est pas très large, mais c'est vraiment, vraiment long), nous avons donc quelques minutes à marcher avant d'arriver au Cap, l'occasion de profiter des paysages.




Et voilà, le Cape Reinga! Pour ceux que ça intéresse, (on sait jamais, hein), on peut réellement voir l'endroit ou la mer de Tasmanie et l'océan Pacifique se touchent, puisque que c'est la rencontre entre les deux masses d'eau qui provoque tous les remous à gauche de la photo. 
Et, toujours pour ceux que ça intéresse (encore une fois, on sait jamais), le phare a été construit en 1941, et utilisé pour la première fois le 1er mai de cette même année. 


Et ça, c'est moi qui tente de faire de la photo d'art. Je suis époustouflée par mon propre talent. Haha. 


A la base du phare se trouve un panneau indicateur. Encore une fois on sait jamais, quelqu'un peut décider un jour de faire Cape Reinga - Los Angeles à la nage, et ce serait bête de se tromper de direction. J'aurais pu tenter pour la France (si, si, j'aurai pu!) mais c'était pas sur le panneau, du coup je savais pas par où partir. Trop dommage.


Après avoir quitté le Cap, nous sommes remontés dans notre bus de compèt, et nous nous sommes rendus sur des dunes de sables géantes, à quelques kilomètres de là, pour l'activité du siècle : le sand surfing!
Le principe est simple : on attrape une body board en polystyrène, on grimpe en haut de la dune avec sa planche sous le bras (beaucoup, beaucoup, beaucoup plus facile à dire qu'à faire, j'ai cru que j'allais pas réussir à monter jusqu'en haut), on attend son tour, on court, puis tout en courant on s'allonge sur la planche, on soulève l'avant de la planche avec les deux mains pour l’aérodynamisme,et on se laisse glisser jusqu'en bas! Éventuellement, on peut utiliser les pieds pour freiner (mais c'est bien plus drôle sans), ou pour changer de direction (mais bon comme c'est pas nous plus un parcours d'obstacle, en allant tout droit ça passe nickel).



Et j'ai trouvé ça sur youtube, on voit vraiment mieux en quoi ça consiste :


Mais si vous avez un jour l'occasion, tentez sans hésiter, c'est encore mieux en vrai qu'en vidéo!

Sur le chemin du retour, nous sommes passés par 90 miles beach, sur la côte ouest. 90 miles beach ne fait en réalité par 90 miles mais 55, ce qui fait 90 km, d'ou le nom. Sauf qu'un gars s'est pointé un jour, n'a pas compris la différence entre 90 miles et 90 km, en a conclu que c'était la même chose, et tout le monde a suivi depuis. Logique, quand tu nous tiens...




La plage en elle-même n'est pas extraordinaire, si ce n'est qu'elle est tellement longue que nous sommes restés dans le bus pour la traverser, à part une pause pour prendre des photos. D'ailleurs, aller d'un bout à l'autre de la plage nous a pris une bonne heure. Autant dire que si vous voulez donner rendez-vous à des amis pour les retrouver, c'est pas forcément l'endroit idéal... Mais bon de toute façon, personne ne se baigne sur cette plage, les cars touristiques qui passent toutes les 30 minutes ne devant pas aider beaucoup. Et puis, elle est pas non plus très facile d'accès.
Mais il n'empêche que de rouler en car sur la plage, c'est assez drôle comme expérience, avec la mer d'un côté et les dunes de l'autre. 





Et voilà, après cette journée de voyage dans le grand nord, je retourne dans mon auberge de jeunesse à Paihia vers 20h, et repars en bus vers Auckland le lendemain, prête pour une nouvelle semaine!

Désolée du retard de l'article, je viens de rentrer d'Australie et je n'ai pas pu l'écrire de là-bas. Mais du coup, en compensation, je vais me lâcher sur les photos de Kangourous et de Koalas dans les prochains posts!

A très bientôt et gros bisous,

Coink'


 "Expose-toi à tes peurs les plus profondes. Après cela, la peur ne pourra plus t’atteindre" 
– Jim Morrison

samedi 12 avril 2014

Introduction au nudisme

Dimanche 09 Mars 2013

Aujourd'hui, je pars passer la journée sur Waiheke Island, avec une autre jeune fille Au Pair (Est-il réellement nécessaire de préciser qu'elle est allemande?). Waiheke Island, c'est une île dans le golfe d'Hauraki, d'une superficie de 92 km², habitée par environ 7000 personnes, avec environ 30 000 touristes en été, et située à 30-40 minutes de ferry du port d'Auckland. Pour faire simple, c'est un peu comme Belle Île, mais version NZ. 



Nous partons donc du port d'Auckland vers 9h00 du matin, en ferry, sous la pluie. Sachant que sur l'île, toutes les activités sont en extérieur, je ne suis pas très optimiste pour le reste de la journée, mais je vais vite changer d'avis.
En effet, en arrivant sur Waiheke, la pluie n'est plus du tout d'actualité, tous les nuages sont partis, et il fait vraiment vraiment beau et vraiment vraiment chaud. Ça, c'est la bonne nouvelle. La moins bonne nouvelle, c'est que comme l'île est assez grande, il n'est pas question d'en faire le tour à pieds, et il n'y a pas de location de vélo ni de voiture là ou le ferry arrive (mais il y en a à l'autre bout de l'île, ou comment prendre des décisions logiques selon les kiwis...)

Evidemment, on aurait pu passer une voiture dans le ferry, sauf que les billets voiture coûtaient vraiment plus cher, et qu'en plus on n'avait pas de voiture de dispo (légèrement problématique, du coup...). Donc nous entreprenons de marcher 20 minutes pour atteindre l'office de tourisme dans le "village" le plus proche, dans lequel on nous apprend qu'il y a un service de bus qui fait le tour de l'île, que oui, il est possible d'acheter un pass à 10$ la journée avec trajets illimités, que oui, le bus passe juste devant l'office de tourisme, d'ailleurs il y en a un qui arrive dans moins de 10 minutes, mais que non, on ne peut pas acheter les tickets à l'office du tourisme, ni auprès du conducteur, il faut donc que nous retournions à l'embarcadère du ferry pour acheter les tickets, puis que nous revenions ici pour prendre le bus. Niveau organisation, la journée commence bien!

Bref, le temps de repartir vers l'embarcadère, d'acheter nos billets, de revenir à l'office du tourisme, d'attendre un bus, il est déjà 13h. Le bus dans lequel nous sommes montées se dirigeant vers le sud est de l'île, et le chauffeur nous annonçant qu'il n'y a que 4 bus par jour qui vont jusqu'à Orapiu, nous décidons de nous arrêter à Rocky Bay pour le déjeuner, sans aller jusqu'au bout de l'île (pas très envie de rester coincées, après avoir autant galéré pour trouver un moyen de transport...). 

A Rocky Bay, nous tombons sur une petite plage quasiment déserte, parfaite pour un pique-nique, et parfaite aussi pour échapper à la folie du débarquement touristique sur l'île...






Après une petite heure de marche le long de la plage, de détente et de soleil, nous reprenons le bus, direction cette fois Palm Beach (comme dans les films américains, la grande classe). Palm Beach est divisée en gros en trois parties. A l'ouest, toute la zone fréquentée par les familles avec enfants (c'est-à-dire la zone soigneusement évitée par deux Au Pair en week-end), au milieu, plein de petites criques entourées par des rochers, avec un petit air de plage toute droit sorties d'un James Bond, et à l'est... Derrière les rochers... Une plage de nudiste. J'ai malheureusement pas de photos de ma tête quand, ne sachant pas ce qui m'attendait, j'ai contourné le rocher et que je me suis retrouvée face à un type d'une soixantaine d'années, complètement à poil, tout en bourrelets, poils et rides, qui sortait de l'eau pour aller retrouver sa femme (bâtie sur le même modèle) en train de bronzer et pas beaucoup plus habillée.  Et quand j'ai réalisé que les autres gens présents sur la plage étaient globalement tous aussi vieux, et tous aussi nus. Malaise.
Bref, coincées entre les gamins qui crient et les vieux tout nus, mais ayant quand même envie de rester sur cette fort jolie plage, nous avons quitté le côté nudiste pour revenir vers les rochers. Mis à part les vieux qui revenaient de la plage nudiste (habillés, cette fois), c'était beaucoup plus calme!



Enfin, après avoir bronzé pendant une bonne partie de l'après-midi, nous somme retournées vers l'embarcadère, pour prendre un ferry qui était supposé partir à 16h (mais qui en fait n'a pas quitté l'île avant 16h45... L'organisation générale en Nouvelle-Zélande, c'est un peu comme l'administration d'une fac, mais en pire).

Pour conclure, encore une nouvelle journée sous le soleil, avec plein de jolis paysages, et de supers souvenirs (dont le vieux tout nus ne fera pas partie, je vous rassure).

Je vous fais des tonnes de bisous,
Coink'


"Une journée sans rire est une journée perdue." 
– Charles Chaplin

vendredi 4 avril 2014

Un mois, 6 photos

Février 2014

Pas de quoi me lancer dans un grand article sur une journée pour particulier pour le reste du mois de février. En revanche, quelques petits moments, par-ci par-là, et quelques jolis souvenirs à vous faire partager. 


15/02/2014 : Lantern Festival à Auckland





17/02/2014 : Harry's 5th birthday


Cette photo est horrible, mais c'est la seule que j'ai avec lui, donc bon... Tant pis!

Et voilà le résumé de mon mois de février!

Gros bisous et à très bientôt,

Coink'

«La joie est le soleil des âmes; elle illumine celui qui la possède et réchauffe tous ceux qui en reçoivent les rayons» 
– Carl Reysz

Le lac "Poêle à frire"

Jeudi 6 février 2013

Aujourd'hui, nous sommes le 6 février, et en Nouvelle-Zélande, c'est le Waitangi Day, un jour correspondant à la signature du traité de Waitangi (d'après mon ami Wikipédia : Traité signé le 6 février 1840 à Waitangi, -et ça fait beaucoup de fois Waitangi- entre les représentants de la couronne britannique et les chefs tribaux Maoris. C'est le traité qui a formellement placé la Nouvelle-Zélande en tant que colonie britannique, tout en reconnaissant l'égalité des droits entre les citoyens britanniques et les citoyens maoris, ainsi que la garantie du maintien des prérogatives du peuple maori et de leurs possessions immobilières.) 

Bref, le 6 février est un jour férié en Nouvelle-Zélande, un peu comme notre 14 juillet. Et vu que cette année il tombe un jeudi, et que l'année scolaire vient de commencer, c'est l'occasion parfaite pour octroyer un vendredi de pont, et prendre un week-end de 4 jour pour aller camper au bord d'un lac. Ou faire autre chose, d'ailleurs, mais là en l’occurrence c'est ce que nous on a fait.

Donc, nous sommes partis le jeudi matin aux aurores ( enfin, quand tout le monde a été réveillé et prêt à partir, en fait, donc aux aurores à 10h quoi) pour rejoindre le "Blue Lake" ou Lake Tikitapu, à côté de Rotorua. Le nom Tikitapu ne signifie rien en soit, il provient en fait du nom d'un endroit ou la fille d'un grand chef maori aurait perdu son collier sacré ou je ne sais quoi. Franchement, heureusement que tout le monde ne s'éclate pas à nommer des lacs par les noms des endroits ou une fille a un jour perdu quelque chose, sinon on n'aurait pas fini... Nous avons mis environ 4h pour arriver à destination (3h11 selon Google maps, je sais, mais visiblement Google Maps ne voyage pas avec 3 enfants de 4,7 et 9 ans dans sa voiture).


Donc après avoir planté la tente, gonflé les matelas, sortis les sacs de couchage, etc... Nous nous accordons une petite fin d'après-midi tranquille au bord du lac. Il fait assez beau, en revanche le vent est vraiment, vraiment froid. Mais bon, une fois dans l'eau, on le sent plus, le vent!


Vendredi 7 février 2014

Ce matin, réveil au doux son des gouttes de pluie qui tombent sur la toile de tente... Formidable. Il fait vraiment trop froid pour se baigner aujourd'hui, donc nous optons plutôt pour une balade dans un des parcs géothermiques de Rotorua, la vallée volcanique de Waimangu. La vallée volcanique est dominée par le mont Tarawera, un volcan dont la dernière éruption en 1886 a causé la mort de plus de 120 personnes, en ensevelissant 4 villages. Cette éruption, consécutive à une série de forts séismes dans l’île du Nord, a complètement redessiné le paysage, en faisant disparaître un lac et en laissant apparaître 7 cratères qui constituent aujourd'hui la vallée. 
Aujourd'hui, la vallée est ouverte au public, et on peut y randonner pendant environ 3h (en payant préalablement 70$ par personne, Rotorua restant une ville touristique par excellence) en observant les "merveilles telles que le diabolique Cratère de l’Enfer, le lac fumant ‘Frying Pan’ (la poêle-à-frire) et le mystérieux Cratère de l’Echo" -dixit le site officiel. 

Je reconnais que, présenté comme ça, ça n'a pas l'air passionnant comme activité. Mais en réalité, voir un lac dont l'eau est si chaude qu'elle fume en permanence, et qu'elle fait même fumer les roches qui entourent le lac, c'est plutôt impressionnant. Même quand le lac en question s'appelle "poêle à frire" (faut bien se l'avouer, y a plus glamour comme nom...)



Mis à part ce fameux lac fumant, la vallée présente d'autres sites plutôt intéressants, comme des ruisseaux d'eau chaude avec des jolies couleurs, des geysers, et un lac dont le pH est d'environ 3. Un endroit parfait pour une baignade, donc...





Après cette charmante balade d'un peu plus de 3h (qui était vraiment très sympa, hein, mais peut être pas au point de payer 70$ pour avoir le droit de marcher...), nous retournons vers la tente. Il fait toujours aussi froid, il pleut toujours autant... Autant dire que nous avons passer la soirée dans nos sacs de couchages, avec pulls et chaussettes (vive l'été...), en priant pour que la météo s'arrange le lendemain.

Samedi 8 février 2014

Evidemment, ça n'a pas été le cas, ça aurait été trop beau sinon. Donc devant la pluie constante, et surtout devant l'absence d'activité pour jours pluvieux à moins de 150$ par personne, nous avons décidé de replier la tente et de rentrer sur Auckland un jour plus tôt, au lieu de passer la journée dans un sac de couchage.
Mais avant de partir, nous avons effectué un petit détour pour observer le Blue Lake, sur lequel nous étions, et le Green Lake, juste à côté. Personnellement, je ne vois absolument pas de différence, mais bon... 
Blue Lake

Green Lake

Apparemment, le Blue Lake devrait son nom à la présence de Rhyolite blanche et de pierre ponce au fond, qui se reflète dans les eaux (je ne vois pas très bien en quoi ces deux couleurs associées sont supposées faire du bleu, mais après tout pour quoi pas). Le Green Lake est supposé être d'un vert émeraude car il est peu profond et que le fond est sablonneux. On est d'accord, pour l'un comme pour l'autre, c'est pas flagrant.

Bref, je termine par une vue sur la vallée du Blue Lake, à côté de laquelle nous sommes passés en partant.
Ce genre de forêt est typique en Nouvelle-Zélande, ils appellent ça les "bushes", ce qui littéralement, et pour tous les autres pays anglophones, désigne des buissons. Mais ici, tout groupement de plus de 3 arbres semble être un "bush", sans distinction aucune entre le buisson dans le fond d'un jardin et une forêt de fougères et de palmiers. 


Bref, nous avons donc repris la route en sens inverse, vers Auckland, tout ça pour nous rendre compte qu'il y avait fait beau tout le week-end et que tout le monde avait passé 3 jours à la plage. Mais bon, le camping sous la pluie, c'était sympa aussi...

Je vous fais des bisous et vous dit à très bientôt,

Coink'
« Ce sont nos choix qui montrent ce que nous sommes vraiment, beaucoup plus que nos aptitudes. »
J.K. Rowling